Compte-rendu de l’Assemblée Générale
du Syndicat des Osiériculteurs Français du 16 octobre 2021,
à 9h00 en visioconférence
Les présents :
M. Boyer Patrick, Président du Syndicat des Osiériculteurs Français et Osiériculteur Vannier « L’osier de Gué
Droit » FR-37190 Saché
Mme Moilleron Josiane, Directrice du CFPPA/Ecole Nationale d’Osiériculture et de Vannerie et représentante de l’EPLEFPA, Secrétaire du Syndicat des Osiériculteurs Français
Mme Hefti-Boyer Séverine, Osiéricultrice Vannière « L’osier de Gué Droit » FR-37190 Saché et Secrétaire ajointe du Syndicat des Osiériculteurs Français
M. Hefti Jean-Loup, Osiériculteur retraité FR-37190 Villaines Les Rochers et Trésorier du Syndicat des Osiériculteurs Français
M. Eveillard Pierre, vannier FR-52500 Fayl-Billot et représentant du Comité de développement et de Promotion de la Vannerie (Fayl-Billot)
M. Colin Régis, formateur en vannerie au CFPPA et Osiériculteur vannier FR- 88170 DOMBROT SUR VAIR
M. Devos Bart, Vice-président du Syndicat des Osiériculteurs Français et Osiériculteur « Devos Salix » BE-9160 EKSAARDE
M. WiEg Daniel, ancien élève de l’Ecole de Vannerie de Fayl-Billot, retraité, passionné par l’osier et la vannerie
Mme Goulard Amélie, directrice de l’exploitation agricole et osiéricole du Lycée de FR-52500 Fayl-Billot
Mme Bosquet Françoise, Osiéricultrice vannière « Van d’Ouest » BE-6760 Virton
M. Jacquet Régis, formateur CFPPA et salarié de l’exploitation du lycée horticole de Fayl-Billot
M. Romand Christophe osiériculteur vannier FR-37190 Villaines Les Rochers
Mme Fremont Maëlle osiéricultrice vannière adhérente à la Coopérative de vannerie de Villaines FR-37190 Villaines Les Rochers
M. Hommel Luc, osiériculteur « l’Osier du Rhin » FR- 67760 GAMBSHEIM
M. Hardouin Jean-Pierre Osiériculteur Vannier retraité en Touraine « Vannerie de Touraine » et Président honoraire du Syndicat des Osiériculteurs français
Les excusés :
M. Heid Markus : osiériculteur à Neupotz en Allemagne
- Ordre du Jour :
- Lecture du procès-verbal de la dernière assemblée générale du 7 Novembre 2020
- Situation financière
- Montant des cotisations et le point sur les adhésions - Election du conseil d’administration et du bureau
- Etat et actualité du Marché de l’osier
- Informations
- Questions diverses
- Lecture du procès-verbal
Le procès-verbal de la dernière assemblée générale 2020 est lu par Séverine Hefti-Boyer. Il est approuvé à l’unanimité.
- Situation financière :
Jean-Loup Hefti présente les chiffres 2020-2021
Le solde des comptes était de 2 349,72 euros en 2020
+ 10 cotisations à 30€ = 300€
+ 1 paticipation à 25€
Nouveau solde créditeur de 2 984,72 € voté à l’unanimité
- Montant des cotisations et le point sur les adhésions
Il n’y pas eu de dépense en 2020 puisqu’un chèque de 14,40€ n’a pas encore été déposé et que la
facture pour l’hébergement du site pour 2021 n’a pas encore transmise. Probablement que 28,80€ seront retrouvés en 2022.
Comme il n'y a pas de gros projets en vue pour cese nouvelle année, le président propose de maintenir le tarif des cotisations 2021/2022 à 30 €.
Ce qui est accepté par les membres présents à cette AG.
- Election du conseil d’administration :
Conseil d’administration actuel est composé de 6 membres :
-Bart Devos
-Séverine Hefti-Boyer
-EPLEFPA de Fayl-Billot (représenté par Josiane Moilleron)
-Patrick Boyer
-Jean-Loup Hefti
-Régis Colin est démissionnaire, Patrick propose au membre que Maëlle Frémont prenne sa place
Séverine Hefti-Boyer propose sa place, mais personne ne souhaite la remplacer.
Bart Devos et Séverine Hefti-Boyer qui faisaient partie du premier tiers à remplacer, Maëlle Frémont prenant la place de Régis Colin sont candidats pour faire partie du conseil d’administrtiSon et sont élus à l’unanimité.
1er Ters (élections 2022) Boyer Patrick
Jean-Loup Hefti
2ème Ters (élections 2023)
EPLEFPA de Fayl-Billot Fremont Maëlle
3ème Ters (élections 2024)
Hefti-Boyer Séverine Devos Bart
- Election du bureau :
Proposition de vote pour les candidats suivants aux différents postes :
Président : Patrick BOYER
Vice-Président : Bart Devos
Secrétaire : EPLEFPA de Fayl-Billot Secrétaire adjointe : Séverine Hefti-Boyer Trésorier : Jean-Loup Hefti
Trésorier adjoint : Maëlle Fremont Tous réélus à l’unanimité
- État du marché
Devos Salix en Belgique : 15ha
Aucun soucis pour vendre l’osier en rouge Belge et purpurea en frais et sec.
Il ne reste donc plus beaucoup d’osier brut.
Il reste de l’osier blanc dans toutes les longueurs mais principalement en dimensions supérieures à 2m
La prochaine récolte est normale, régulière, pas trop longue dû à la fraicheur du printemps mais il y a beaucoup de problèmes avec les chevreuils.
Une parcelle est détruite par les chevreuils, l’osier est taillé à moins de 1,5m.
De veilles parcelles seront bientôt remplacées dans quelques années.
Une barrière est positionnée avec un fil électrique qui fonctionne moyennement. Pour les prochaines années Bart essaiera de positionner du répulsif autour et sur l’osier.
Cette année, Bart pense récolter 13ha
Françoise Bosquet en Belgique : sur 50ares a récolté l’année passée 2,5tonnes
Cese année s’annonce belle.
Le gros problème est la récolte à la main, au sécateur, elle trouve cela très difficile.
Françoise utilise son osier et le vend en partie en frais et en brut
Françoise a du Purpurea sur la moitié de sa parcelle puis sur l’autre moitié a de l’américana, du rouge belge, Alba oeil noir
Françoise est en asente d’une certification bio. CERTI CYS
Département 52 :
Amélie Goulard, directrice de l'exploitation du Lycée Agricole, présente le bilan de la saison passée. Il a été produit pas loin de 14tonnes d’osier de vannerie dont la moitié a été commercialisée en frais. L’état des stock aujourd’hui est à 0 en osier blanc inférieur à 2m et il reste a peu près toutes les tailles en brut puisqu’il en y a été produit plus que les années passées.
Il y a toujours autant de demandes, il n’est toujours pas possible d’honorer toutes ces dernières..
La prochaine récolte attend de grandes tailles, beaucoup d’osier de plus de 2m. Amélie espère avoir du 3m pour l’architecture végétale et plus de rendement en 1,40m et 1,60m pour la vannerie, les dimensions les plus vendues en osier blanc.
Sur les vielles parcelles, il y a beaucoup de soucis avec les ronces. Les ronces sont coupées au sécateur mais ce n’est pas gratifiant.
Une solution de Phyto localisé sur les ronces du Kileo (mélange de Glyphozate et 2-4D) 2 applications sont faites. Ce produit est encore autorisé et c’est la seule solution pour le moment.
Le robot de désherbage est arrivé. OZ sera paramètré cet hiver pour sa mis en service au printemps prochain. 3 ha sur l’exploitaSon. Ils ont des projets de plantation sur quelques dizaine d’ares.
Le prochain projet serait de concevoir et réaliser une machine de récolte qui permetra de couper et boteler en même temps, plus automatisée et homologuée. Un groupe de 5 étudiants ingénieurs, spécialité agro équipement de l’université Lassal à Beauvais travailleront pendant 1an et demi pour concevoir cette machine. Un attelage prévu sur un tracteur pour facilité la manutention avec un cout raisonnable que cela puisse servir à la profession. Pour que les élèves puissent voir les chantiers de récolte, Amélie donnera les coordonnées des osiériculteurs pour voir les différentes machines et trouver l’inspiration.
En décembre 2022, le prototype devrait être sortie, mais il n’y a aucun obligation de résultats.
Régis précise qu’avant hier une fosse a été creusée pour poser le tonneau avec un palan électrique pour le tri, ce sera normalement opérationnel pour la récolte.
Patrick demande si quelqu’un a repris le projet et les parcelles d’Agnès Ricart. Pierre Eveillard répond que ce sont des parcelles du CDPV et que de jeunes osiériculteurs Lydie Maitre et Merille Humblot ont repris la parcelle de 50 ares du CDPV. Il n’y a pas à court terme de projet d’installation.
Samuel Jean (3ha) a récolté toutes ses parcelles l’année dernière, il en vent en vert et il décortique. C’est l’exploitation du Lycée agricole qui lui vent la prestation de récolte. Il a de l’osier blanc à vendre dans toutes les tailles. L’Ecole a acheté des échantillons qu’elle va testé prochainement.
Josiane dit qu’ils ne savent plus quels sont les osiériculteurs en Haute Marne.
-Gradeau à Bussière 1ha
-Colin 15ha
-St Brain Ferme thérapeutique (l’exploitation du lycée agricole s’occupe de la récolte et regrese la mauvaise
-la parcelle de Jean Paul Bavoillot a été reprise par une élève l’année dernière Sarah Pinsquienne
-Et une élève projese de planter près de Bourbonne cet hiver.
-L’exploitation est en convention avec l’ime de Puelmontier 60ares 5tonnes en frais trié purpurea et rouge Belge
En haute marne 15 ha du coté de Bussière d’après Colin annonce Daniel Wittig + 8 ha donc on pense avoir un peu moins de 25ha
Département 88 :
Régis Colin a tout abandonné. Il annonce avoir tout gyrobroyé à la fin de l’été.
Département 37 :
Christophe Romand a 0,80ha avec pour moitié du Triandra grisette moyenne et sur l’autre moitié 4 variétés de Purpurea.
L’année passée Christophe a fait une nouvelle plantation de purpurea sur bâche PLA (amidon de maïs) de 30ares.
Le coût est important mais par rapport au désherbage manuel le retour sur investissement est prévu sur les 3 premières années. L’effet est bénéfique puisque c’est comme un paillage et Christophe a fait une belle récolte dès la première année. InvetiSssement est de 1,20€ du mètre carré.Le positionnement est manuel et tout est recouvert.
Christophe a fait sa récolte au motoculteur et la bâche n’a pas bougé. Christophe pense qu’il faut planter en biais pour bloquer la bâche.
Attaque d’acariens sur le green dicks.
Maëlle Fremont a planté l’année dernière et cette année. Les plantations ont bien poussé.
Elle travaille le sol pour ne pas employer de désherbants. Aucun désherbant n'a été utilisé l’année dernière, cette année un minimum en local. Le travail du sol se fait avec des pattes d’oies avec le tracteur et un mono roue motorisé avec des pattes d’oies qui permet de passer également lorsque l’osier est grand.
Il ne reste plus qu’à désherber sur le rang, beaucoup de temps est passé sur cette opération mais il y a de bons rendements.
Maëlle a eut de gros problèmes de rouille sur la « petite grisette », une parcelle a été traité chimiquement et sur une autre parcelle des essais de purin de prèle et bicarbonate n’ont pas fonctionné. Maëlle pense que la variété et le lieu d’exploitation n’aide pas a obtenir du résultat.L’osier est haut cette année toutes variétés confondues.
Maëlle a relevé par satellite 12ha de rendement pour les osiériculteurs qui travaillent pour la coopérative
Patrick avait réalisé le même travaille il y a plusieurs année et il y avait 14ha planté, il y a donc eu une baisse de surface de production. On peut alors comptez environ 17 à 20 ha de production en Touraine.
Maelle a observé des colonies de cochenilles farineuses en fin de saison sur certaines souches dans différentes variétés. Les souches plus touchées ont eu du mal à redémarrer au printemps. Certains ont fait des traitement à l’huile blanche et il y en a moins. C’est surveillé parce que cela épuise les souches. Dans les gravenches, il y a beaucoup de perte de souches qui sont envahis par les longicornes. Il faut renouveler ces parcelles.
Patrick à l’osier de Gué Droit, dit avoir eu une année menée facilement malgré l’humidité. Seulement quelques attaques de rouilles qui on pu être maitrisée. Il n’y a pratiquement pas eu d’attaques d’insectes. Il précise qu’il est en lutte conventionnelle et que cette année il n’a appliqué que très peu de traitement.
La récolte s’annonce plutôt jolie, peut-être un peu plus grande que d’habitude dans certaines variétés à confirmer lors du calibrage.
Patrick a retenté une création de parcelle dans un terrain qui n’avait pas réussi à prendre l’année précédente, c’est encore un échec. Cese parcelle sera donc abandonnée. Il dit avoir des projets de plantation en triandra « noir de Villaines » pour l’année prochaine. Les stocks en osier brut (30% de l’exploitation) il ne reste rien et pour le blanc il ne reste plus que 30% de stock après ouverture de la boutique en septembre.
Patrick affirme une sous production d’osier en France. La demande est forte cette année, même à l’étranger. Il n’a jamais autant exporté (en Israël, Etat-Unis, Afrique, Allemagne, Belgique, Italie, Espagne, Hongrie, Angleterre).
Maëlle demande si d’autres ont pu constater cette augmentation d’exportation? Personne d’autre n’exporte autant, il est possible que la visibilité du site internet de l’osier de gué droit joue sur cette augmentation.Les autres producteurs ne cherchent pas à commercialiser à l’étranger.
Maëlle fait remarquer que l’osier de Gué droit commercialise sur une plate forme « I Make » qui peut contribuer en terme d’image et de rayonnement mais ce sont que des ventes en France en petites quantités. Amélie demande combien sont produit par an en tonnage osier vert à l’osier de Gué Droit. Patrick répond que l’année passée, il y avait 22 tonnes à écorcer et en osier brut 11 tonnes + une partie vendue en vert pour 3,5ha trié. Séverine précise que le tri et la récolte ne peuvent pas être réaliser à 2, heureusement il y a les salariés.
Oz a bien été utilisé au printemps puis lorsque l’été humide est arrivé, il n’a pas pu être utilisé autant que souhaité. Le guidage par satellite le rend presque infaillible et il fonctionne très très bien.
Patrick précise qu’il ne faut pas hésiter à travailler le sol dans l’entre rangs avant le passage de OZ par exemple avec une bineuse.
Département 67 :
Luc Hommel (Osier du Rhin à Gambsheim 67) estime que c’est une bonne année grace à la pluie. L’osier est grand il monte à 4m voir plus, c’est bon pour l’osier vivant. Les grisettes se maintiennent à des tailles correctes pour la vannerie. Luc remplace des grisettes pas productives par du purpurea LX et de l’américana qui sont des variétés qui supportent bien le sec en Alsace.
Cette année, Luc a recépé plus tard, il n’a donc pas eu de dégâts de chevreuils. En recépant début mai les chevreuils sont ailleurs.
Patrick explique qu’en Touraine, les chevreuils peuvent faire dégâts jusqu’à mi juin et maintiennent une taille pendant toute la saison.
La Parcelle plantée cette année (purpurea Gilbert et acutifolia) était inondée pendant le mois de juillet complet.
Luc a de l’americana de Plock, l’année passée il a été attaqué par des charançons à 1,80m donc mort pour l’osier vivant mais ce qui était en dessous a pu être utilisé en vannerie.
Séverine précise, qu’ils ont arrêté la production de l’americana à cause des attaques des charançons. Patrick précise que le charançon attaque aussi les viminalis.
Patrick n’a pas pris le temps de prendre des nouvelles de Jean-Luc Guichard. Amélie pense le contacter pour que les étudiants du projet machine puissent voir sa machine de récolte. Maëlle pense qu’il vendra l’osier en frais puisque Thomas Bureau s’est positionné pour lui acheter sa petite grisette.
Séverine précise qu’un article a été réalisé sur Fabienne et Jean-luc sur le lien créatif.
- Questions diverses :
Adrien Desplat rejoint la viso conférence. Ingénieur agronome à Montpellier a travaillé sur un projet qui porte sur la filière osier en général.
Isabelle Maugis osiéricultrice du Lot souhaitait mener une étude exploratoire sur les enjeux, la pertinence et la structuration d’une filière d’osier en agro écologie et ce dans un contexte de pénurie d’osier et de changement climatique. Isabelle a constitué un groupe de 7 osiériculteurs vanniers dont Patrick, Maëlle et Luc font parti. Avec également Serge Mazeau, Coralie Beltram et Eva Viadji qui font parti du comité mais pas du syndicat.
Isabelle a constaté qu’il n’y a pas de ressources qui existent sur la production d’osier en agro écologie. Tous les osiériculteurs sont conviés à se rendre à la journée de restitution et de collectif le 15 novembre près de Tours. L’étude sera présentée lors de cette journée, les acteurs de cette journée seront mobiliser pour réfléchir et travailler ensemble pour connaitre leurs attentes. Sur la question : Quelle organisation mettre en place ou developper pour répondre aux attentes des osiériculteurs aujourd’hui? A la fin de la journée il y a aura des plans d’actions ou des axes de recherches à donner pour répondre aux attentes des osiériculteurs.
Le rapport et mémoire de fin d’études d’Adrien est en lien sur le site du SOF.
Fayl Billot propose des places dans le mini bus pour les personnes qui le souhaitent. Luc veut bien en profiter.
Maëlle espère profiter de cette journée pour bénéficier de l’accompagnement de Impact 37. C’est une occasion unique d’essayer de travailler ensemble, il est important d’en profiter.Bart ne pourra pas venir, il espère avoir commencé à récolter. Françoise viendra avec son mari. Patrick fera passer l'invitation au groupement de Touraine, aux membres du syndicat, sur la page Facebook du syndicat et sur le site du SOF.
Patrick remercie Adrien et espère que l’invitation puisse donner envie à d’autres de venir en Touraine.
Josiane a du quitter l’assemblée pour des raisons familiales.
Pierre Eveillard informe que beaucoup de personnes recherchent des machines à décortiquer.
Patrick précise que Jean-Loup a une machine prête à fonctionner avec le système électrique refait à neuf et des plombs d’avance. Jean-Pierre en a plusieurs aussi à vendre en l’état avec ou sans moteur.
Patrick a reçu quelques tarifs et aimerait en recevoir d’autres.
Catherine Romand, présidente du syndicat des vanniers de France, présente le nouveau syndicat qui vient d’être monté avec 7 membres de bureau.
Le but:
-La reconnaissance au niveau des institutions et pouvoirs publics
-Le syndicat est ouvert aux personnes adhérentes aux chambres consulaires à jour de leurs cotisations. Vanniers attachés à la chambre des métiers, vanniers attachés à la maison des artistes et vanniers osiériculteurs attachés à la MSA.
-Le syndicat souhaite réaliser un listing des vanniers professionnels et faire un site du syndicat ou les vanniers adhérents pourraient être répertoriés.
-Aider les vanniers légalement et administrativement.
-Essayer d’aider à faire des devis
-Défendre la formation professionnel
-Bénéficier du service juridique des ateliers d’art de France
-Tenter de stopper les associaSons qui court-circuitent les vanniers professionnels (vente et formaSons) et nuisent aux professionnels
-Se fédérer pour être plus fort
-Tenter d’obtenir un label naSonal, avoir un label patrimoine naSonal de l’unesco mais à l’échelle naSonal. -Avoir de la visibilité
-Informer les vanniers
Pour adhérer au syndicat il faut envoyer un mail à syndicat.vannerie@gmail.com
Séverine dénonce que le problème de formation pour l’osiériculture est le même que les vanniers. L’école a beau exister, des personnes souhaitent un complément de formation en venant sur les exploitations et nous ne pourrons pas nous substituer à l’école et n’auront pas les moyens de devenir des organismes de formations agréés caliopi. Elle pense qu’il sera important que le syndicat des osiériculteurs rejoigne les recherches et la bataille du syndicat des vanniers. Patrick explique que c’est grace à la formation qu'on formera les vanniers et osiériculteurs et qu’ils seront la relève de demain.
Séverine rappelle que les uns sans les autres on existe pas.
Jean-Loup rappelle aux adhérents de transmesre leurs cotisations et d’apporter leur règlement éventuellement lors de la rencontre du 15 Novembre.
Patrick remercie tous les participants.
Personne ne demandant plus la parole, la séance est levée à 11h40.
Le Président, Patrick Boyer